Drôles de tchèques
Porteur d’une inventivité formelle et d’une liberté de ton des plus saisissantes, le cinéma tchèque n’en reste pas moins encore assez méconnu du grand public, y compris celui qui émergea de façon si extraordinaire dans les mois qui précédèrent le Printemps de Prague. L’Arras Film Festival s’est associé à la société d’édition Malavida pour vous proposer une sélection de quelques jolies pépites aussi vivifiantes que diversifiées, des films qui témoignent d’un art consommé de l’ironie et de la satire, du rire et du burlesque, mais aussi de la critique sociale et politique.
TRAINS ÉTROITEMENT SURVEILLÉS (1966)
de Jiří Menzel
LES PETITES MARGUERITES (1966)
de Věra Chytilová
HAPPY END (1967)
de Oldřich Lipský